L’article rappelle aussi comment les pelouses sont apparues au XVIIIème siècle :
Lawns are a social norm – they have been the dominant form of urban grassland since the early 20th century. A European invention, they arose in the 1770s as a demonstration of wealth and status by landowners who could afford to keep the land out of productivity, and pay labourers to regularly scythe and weed.
Traduction maison : les pelouses sont une norme sociale - Elle sont la forme dominante d’espace vert depuis le début du 20ème siècle. Invention européenne, elle apparaissent dans les années 1770 comme signe de fortune et de statut des propriétaires terriens qui avaient les moyens de garder une surface non-productive et de payer des travailleurs pour la faucher et la désherber régulièrement.
En bref quand on tond moins :
Biodiversité en hausse,
Réfléchit davantage de soleil –> Limite le phénomène d’« ilôt de chaleur urbain »
C’est plus joli et bon pour le moral :)
Mais ce que j’en retiens surtout c’est que qu’il ne faut pas négliger le conformisme :
Many people mow their lawns because that’s what they’ve always done. There’s a perception that a close-mown lawn demonstrates you’re caring for the garden more.
Traduction maison : beaucoup de gens tondent leur pelouse parce que c’est ce qu’ils ont toujours fait. Il y a une perception qu’une pelouse bien tondue montre que l’on entretien bien/davantage son jardin.
Ça doit être pour ça que mes voisins me regardent de travers… Pas de prairie fleurie chez moi mais de l’herbe très haute, des orties, un peu de rumex, quelques chardons et plein de sauterelles :) Quelques bandes fauchées pour garder les bords mitoyens « propres » et permettre de circuler en fonction des besoins ou des récoltes, c’est tout.
Super petit bouquin.
Pareil chez moi. Des graminées, quelques orties, et des chemins et un rond pour la table tondus.
Je passe la faux de temps en temps et la tondeuse 5 minutes pour les chemins.
Il a aussi fait l’objet d’un podcast chez Arte : le punk est dans le jardin
Je viens d’écouter ! La pauvre dame, elle sait pas trop ce que c’est le punk.
En tous cas c’est intéressant, le bouquin est dispo en bibliothèque, j’irai toper ça quand j’aurais un moment, merci beaucoup !
Et oui, j’ai moyen envie de marcher dans les orties donc ça, ça va devoir dégager.
À la relecture de mon post on pourrait dire que c’est moi qui ai un préjugé, positif, envers les orties :)
Tu as raison : ça pique méchamment et pendant plusieurs heures.
Dans les pelouses tondues court oui. Coucou les voisins ^^
Quand on tond/fauche moins et que l’herbe est plus haute, il y en a quelques uns au printemps et puis ensuite ils sont noyés dans la masse. Les seuls qui restent chez moi sont entre les dalles de la terrasse.
J’imagine que la concurrence est plus rude dans une prairie que dans une pelouse traditionnelle et qu’ils ont plus de mal à s’implanter ?
L’article d’origine est ici (EN) avec une mise en page… Intéressante. Utilisez le mode « Lecture » si vous pouvez.
L’article rappelle aussi comment les pelouses sont apparues au XVIIIème siècle :
Traduction maison : les pelouses sont une norme sociale - Elle sont la forme dominante d’espace vert depuis le début du 20ème siècle. Invention européenne, elle apparaissent dans les années 1770 comme signe de fortune et de statut des propriétaires terriens qui avaient les moyens de garder une surface non-productive et de payer des travailleurs pour la faucher et la désherber régulièrement.
En bref quand on tond moins :
Mais ce que j’en retiens surtout c’est que qu’il ne faut pas négliger le conformisme :
Traduction maison : beaucoup de gens tondent leur pelouse parce que c’est ce qu’ils ont toujours fait. Il y a une perception qu’une pelouse bien tondue montre que l’on entretien bien/davantage son jardin.
Ça doit être pour ça que mes voisins me regardent de travers… Pas de prairie fleurie chez moi mais de l’herbe très haute, des orties, un peu de rumex, quelques chardons et plein de sauterelles :) Quelques bandes fauchées pour garder les bords mitoyens « propres » et permettre de circuler en fonction des besoins ou des récoltes, c’est tout.
Edit : typo.
Je vais avoir un petit jardin, je compte en effet le laisser au naturel, ne pas tondre, juste desherber les trucs dont je ne voudrais pas.
Super ! Tu vas bien t’amuser :)
J’ai un peu la même approche, je garde juste un œil sur les ronces et les orties qui ont tendance à devenir envahissantes.
Connais-tu déjà Éric Lenoir et ses traités du Jardin punk ?
Il y a le petit
Et puis le grand
Il a aussi fait l’objet d’un podcast chez Arte : le punk est dans le jardin
J’ai récemment vu passer une citation mais je ne sais plus de qui. En substance : intervenir chaque fois que nécessaire mais aussi peu que possible.
Super petit bouquin. Pareil chez moi. Des graminées, quelques orties, et des chemins et un rond pour la table tondus. Je passe la faux de temps en temps et la tondeuse 5 minutes pour les chemins.
Je viens d’écouter ! La pauvre dame, elle sait pas trop ce que c’est le punk. En tous cas c’est intéressant, le bouquin est dispo en bibliothèque, j’irai toper ça quand j’aurais un moment, merci beaucoup !
Et oui, j’ai moyen envie de marcher dans les orties donc ça, ça va devoir dégager.
Je ne sais pas trop non plus pour le punk mais je n’ai pas non plus tout à fait la même vision qu’elle :D Chacun voit midi à sa porte, tout ça.
Ne jette pas trop vite tes orties :
Là où on fauche/tond régulièrement elles ont du mal à pousser ce qui aide à les circonscrire à certains endroits du jardin.
Il y a la soupe d’orties, aussi. Je rêve d’en manger depuis que je suis enfant, mais je n’ai toujours pas eu l’occasion.
Ok je vais me renseigner et me libérer de mes préjugés sur cette plante aux milles usages. En attendant ça pique de ouf.
À la relecture de mon post on pourrait dire que c’est moi qui ai un préjugé, positif, envers les orties :)
Tu as raison : ça pique méchamment et pendant plusieurs heures.
Garder un oeil sur les.pissenlits aussi. C’est gravement invasif
Dans les pelouses tondues court oui. Coucou les voisins ^^
Quand on tond/fauche moins et que l’herbe est plus haute, il y en a quelques uns au printemps et puis ensuite ils sont noyés dans la masse. Les seuls qui restent chez moi sont entre les dalles de la terrasse.
J’imagine que la concurrence est plus rude dans une prairie que dans une pelouse traditionnelle et qu’ils ont plus de mal à s’implanter ?