• Ziggurat@sh.itjust.works
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    1 year ago

    Ce cours sera à présent obligatoire pour tous les élèves âgés de 12 **et **16 ans, pour une durée de 4 heures au total.

    Donc deux fois 2h, une fois au niveau équivalent 6e et une fois au niveau équivalent seconde. je suppose prévenir les petit.e.s que les érections et les pertes vaginales c’est normal et que personne n’a le droit de les touchers sans leurs accords, et dire rappeler aux grands l’importance du consentement et le bon usage des préservatifs.

    Et simplement ça suffit à déclencher l’ire de l’extrême droite

    • un_blob@jlai.lu
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      1 year ago

      “Il a dit sexe ! Il a dit sexe !”

      M’est d’avis que c’est plus une histoire de truc monté en épingle… en agitant les bons chiffons (oulah “et si” ils parlaient de trans ! De gays ! Oh mon dieuuuu mon enfant va devenir étrange !) tu fait se monter la tête tout seul a l’électorat d’extrême droite.

      Pas besoin de dire ce qu’il y a dedans, au contraire même, faut faire fantasmer ! (Pour un candidat de droite hein)

      • loutr@sh.itjust.works
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        1 year ago

        Ça fait partie de l’endoctrinement, la sexualité ne doit surtout pas être vue comme normale et naturelle mais comme quelque chose de honteux contre laquelle il faut lutter, rapport à notre état naturel de pêcheur etc. C’est mieux si les croyants ont toujours quelque chose à se reprocher, ça évite les questions gênantes et les remises en cause.

        Du coup les gens qui ont grandi là-dedans mélangent tout, parler de la puberté et des parties intimes est forcément quelque chose d’obscène, porte ouverte aux TP de masturbation et autres délires de frustrés perturbés.

          • just_chill@jlai.lu
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            Français
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            1 year ago

            Je vois l’argument, mais les parents ont aussi beaucoup plus de temps et d’opportunités pour aborder le sujet de la sexualité avec leurs enfants que l’école, Ca me parait pas réaliste de se sentir menacé par quatre heures de cours sur toute une scolarité. (quatre heures qui sont pour certains malheureusement leur seule opportunité d’en parler)